Message from the president: The power of shared knowledge
When I think of CSC, I think of education. Whether through formal courses like “Principles of Construction Documentation,” engaging technical sessions at our conference (like the recent one in St. John’s), or informative chapter meetings, education is at the forefront of who we are.
I’ve also benefited greatly from the direct knowledge shared by colleagues, whether in the offices where I’ve worked, among my incredible informal network of spec writers, or from trusted technical reps.
Sometimes, the answer to a question isn’t readily available. When that happens, I lean on the curiosity my family helped instill in me—our dinner table was often filled with questions and the encouragement to “look it up.” That mindset is essential for a specification writer.
When my teams come to me with questions, I start by trying to understand the underlying problem and its requirements. I rely first on what I already know, but I also challenge myself: What am I missing? Where are my knowledge gaps or biases?
From there, I turn to a range of sources, colleagues, mentors, master specification documents, government publications, industry standards and manuals, and even a good web search. And of course, I reach out to my technical reps (especially our CTRs!).
What kind of information am I looking for? It varies—chemical resistance, insulating value, cost, maintenance, installation limitations, environmental and sustainability considerations, warranties, esthetics—you name it. It can be a lot, but it’s often necessary to specify with confidence.
I truly appreciate the investment that manufacturers make in producing and maintaining the technical data we rely on. And to my valued colleagues, tech reps, and spec writers alike, thank you. I know I sometimes reach out before finishing my own research, but your help makes my job easier and strengthens our work as a whole.
I am CSC.
Le pouvoir du partage des connaissances
Quand je pense à DCC, je pense à l’éducation. Que ce soit par des cours officiels comme les « Principes de la documentation en construction », des séances techniques à notre conférence (comme celle qui a eu lieu récemment à St. John’s!) ou des réunions informatives sur les sections, l’éducation est au premier plan de ce que nous sommes.
J’ai aussi grandement bénéficié des connaissances directes partagées par mes collègues, que ce soit dans les bureaux où j’ai travaillé, parmi mon incroyable réseau informel de rédacteurs de spécifications ou auprès de représentants techniques dignes de confiance.
Parfois, la réponse à une question n’est pas facilement disponible. Lorsque cela se produit, je m’appuie sur la curiosité que ma famille a contribué à m’inculquer : notre table de dîner était souvent remplie de questions et d’encouragements à « chercher ». Cet état d’esprit est essentiel pour un rédacteur de spécifications.
Lorsque mes équipes me posent des questions, je commence par essayer de comprendre le problème sous-jacent et ses exigences. Je m’appuie d’abord sur ce que je sais déjà, mais je me mets aussi au défi : Qu’est-ce qui me manque? Où sont mes lacunes ou préjugés?
À partir de là, je me tourne vers un éventail de sources, collègues, mentors, documents de spécification, publications gouvernementales, normes et manuels de l’industrie, et même une bonne recherche sur le Web. Et bien sûr, je contacte mes représentants techniques (en particulier nos RTC!).
Quel genre d’information est-ce que je cherche? Cela varie — résistance chimique, valeur isolante, coût, entretien, limites d’installation, considérations environnementales et de durabilité, garanties, esthétique — vous pouvez tous les nommez. Cela peut être beaucoup, mais il est souvent nécessaire de préciser avec confiance.
J’apprécie vraiment l’investissement que les fabricants font dans la production et le maintien des données techniques sur lesquelles nous comptons. Et à mes chers collègues, représentants techniques et rédacteurs de specs, merci. Je sais que parfois, je communique avec vous avant de terminer mes propres recherches, mais votre aide facilite mon travail et renforce notre travail dans son ensemble.
Je suis DCC.